Cet ouvrage est le 108ème publié
dans la collection À tous les vents
par la Bibliothèque électronique du Québec.
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est la propriété exclusive de
Jean-Yves Dupuis.
[1] Cette histoire se passait au moment de l’Exposition universelle de 1889.
[2] Si, par hasard, un descendant de ce monarque se trouvait offusqué de cette appréciation, il n’a qu’à venir me trouver. Je n’ai jamais reculé devant un Valois. – A. A.
[3] Ce petit conte a été publié, il y a cinq ans, détail important pour éviter toute confusion avec une histoire analogue – ô combien! – parue récemment sous la signature d’un jeune homme blême dont le père m’a accusé, devant Yvette Guilbert, de lui devoir deux termes, ce qui est faux. – A.A.
[4] Il est malheureux que cette expression vieillisse, car elle est significative et utile. Amyot s’en est servi dans sa traduction de Daphnis et Chloé : « Il y avait en ce quartier-là une caverne que l’on appelait la caverne des Nymphes, qui était une grande et grosse roche, au fond de laquelle sourdait une fontaine qui faisait un ruisseau dont était arrosé le beau pré verdoyant. »